Ne pas avoir de modèle éco c’est prendre le risque de perdre la passion
Ne jamais oublier pourquoi on fait les choses
On apprend plus facilement de ses échecs que de la réussite des autres
On était jeunes, on n'avait pas de capital, pas d'économies et pas de famille pour nous aider. Ni même une idée. Mais un problème à résoudre !
J'ai démarré Ecosia France en appliquant les principes de la permaculture à une entreprise tech, pour voir si ça marchait
Changer le nom de sa structure n’est pas un acte anodin.
Il faut avoir l'étincelle en soi pour pouvoir l'allumer chez les autres.
La responsabilité politique d’un maire c’est de mettre en oeuvre des solutions, il ne faut pas qu’en parler
Bien s’entourer, savoir déléguer et s’entourer de savoirs complémentaires au sien
Je ne me définis pas comme une entrepreneuse née, mais comme quelqu’un de curieux qui a eu envie d’avoir un vrai rôle.
On se sentait pas légitimes pour pleins de raisons qui maintenant nous semblent dérisoires.
Reprendre confiance et se sentir légitime pour lancer son projet !
En tant que réplicateur, le projet tu l’adoptes, la communication tu l’adaptes.
Devenir expert c'est tester ses idées directement sur le terrain et apprendre sur le tas.
Je ne veux pas attendre que quelqu'un vienne me délivrer un savoir, je vais le chercher
C’était important de venir en complément de ce qui existe déjà, pour créer de la valeur ajoutée.
La bonne chose en ne faisant partie d'aucune case, c'est que ça nous rend capable de tout.
L'important, c'est de rester humble face à des problèmes qui nous dépassent tous.
Si tu crois vraiment à ton idée, vas-y fonce, travaille ton produit, itère, tu vas y arriver et tu vas réussir à convaincre.
Il faut faire les choses avec sincérité, simplicité, et que ce qu'on prône en terme de fonctionnement se traduise par de l'exemplarité
Quand je suis arrivée chez Ticket, je n'avais jamais fait de podcasts. Aujourd'hui, on a lancé Vécus, et ça marche bien.
Mon rôle pendant 10 ans, ça a été d’acheter du temps et de faire de l’argent un non-sujet.
Quand j’ai démissionné de mon travail et que je me suis lancé, je sentais qu’il y avait un besoin. Mais je ne savais pas où j’allais.
On était jeunes, on n'avait pas de capital, pas d'économies et pas de famille pour nous aider. Ni même une idée. Mais un problème à résoudre !
Je travaille pour Movibia mais je ne suis pas une grande passionnée d'automobile. J'ai donc commencé par chercher ce que je pouvais apporter à l'entreprise.
Au début je faisais évidement le service client. Mon portable sonnait toutes les 2 minutes. Ça m'a beaucoup appris.
Plus de trésorerie, plus de chiffre d'affaire, on a décidé en 3 jours de reconvertir l'entreprise. Sans licencier personne, sinon ça n'a pas de sens.
Vacances de Noël 2014 : j'étais tout seul au sous-sol de notre incubateur pour finaliser les comptes. De la spéléologie de dernier moment.
Si au bout de 2 ans cela ne prend pas, il faut avoir le courage d'arrêter.