Notre objectif, c’est de transformer notre coeur de métier pour donner aux étudiants toutes les clés dont ils ont besoin pour le monde demain
Pour parler aux étudiants, il faut des étudiants
Il a fallu reprendre confiance en moi et en mon projet, être persuadé de notre impact.
À chaque fois que j’ai écouté mes peurs, je me suis retrouvée dans des situations compliquées.
L’entreprise est un immense terrain de jeux et chaque salarié à un pouvoir sur l’entreprise.
Se rencontrer dans la vraie vie a été fondateur pour lancer notre communauté de bénévoles
Communiquer de manière responsable est un vrai travail de fond
Le sens au travail est subjectif. Ce n’est pas la même chose pour vous que pour moi. Une fois qu’on s’est dit ça, il faut essayer de savoir ce qui donne du sens à chacun
Pour qu’on ait un impact puissant, il faut qu’on associe nos forces.
Si on veut vraiment changer les choses socialement, il faut être capable de parler en masse de valeur plutôt qu’en ratios et pourcentages
Si on attend que tout soit bien bordé, bien sécurisé, il y a un risque de ne jamais se lancer
Faites une marque qui est cohérente avec vous, de manière à ce que vous puissiez bien en parler.
Avant sur les emballages il y avait des tableaux incompréhensibles, conçus pour éviter de donner une vraie transparence aux aliments : il fallait que ça change
Pour l’engagement des collaborateurs, c’est important de rester cohérent.
On a à coeur d'embarquer toutes les parties prenantes, que ce projet devienne le leur aussi.
On a pu embarquer tous les collaborateurs !
L’enjeu, c’est d’aller chercher tout le monde. Si on ne partage pas d'idéal et qu'on le fait pas partager surtout, la capacité à se transformer sera beaucoup plus faible.
Mon métier : fédérer des acteurs qui traditionnellement ne travaillent pas ensemble !
Un bon leader, c'est quelqu'un capable de former d'autres leaders.
Ne pas se forcer à être quelqu'un qu'on n'est pas sur les réseaux sociaux car ça se voit !
Les remises en question font partie de l’ADN, de la beauté et de la richesse de ce projet.
Ma recette pour développer les parcours d'engagement c’est de faire seule, de faire avec quelqu’un, puis enfin de faire faire en toute autonomie.
On arrive en haut de l’escalier quand les gens sont acteurs et contribuent activement au changement de l’entreprise.
Mettre ma tête sur internet, ce n’était pas naturel pour moi. J’ai mis pas mal de temps à me décider de me lancer sur Youtube.
Je me suis confrontée à un manque de réseau & de légitimité qu’on peut ressentir quand on vient de quartiers populaires.
En 1 an 1/2 on a eu presque 50 passages en presse.
J’aime bien comparer le fait de contacter des influenceurs au fait de draguer. Plus on se prend des bâches plus c’est facile de se prendre des bâches.
Au début j’avais beaucoup d’envie, mais aussi de crainte de parler de mon idée. Cette crainte que l’idée soit rejetée.
J'ai dû, au début de mon projet, rencontrer en tête à tête 80 personnes pour leur expliquer mon idée.
La vraie différence entre l'entrepreneur social et l'entrepreneur tout court, c'est que nous, on est porteurs d'un message.
5 bénévoles élus, chargés de la politique et de la stratégie de l'association, travaillent 20 à 25h par semaine. Alors qu'ils sont complétement bénévoles.
Il est beaucoup plus fort de faire des choses convaincantes, plutôt que d'essayer de convaincre.
Comment acquiérir des utilisateurs dés son lancement sans dépenser 1€ ?
Trés vite si on veut que quelqu'un s'engage il faut lui faire rencontrer des gens.